Loin de Veracruz

« Je me dis qu’il n’y avait rien d’étrange à ce que, semblablement, soudain se structure Moi je suis de Veracruz, texte énigmatique dont j’avais commencé par ne connaître que le titre, mais qui frappait de plus en plus souvent à ma porte et semblait déjà presque se déployer silencieusement et lécher les derniers recoins de mon imagination, comme si j’avais été destiné à l’écrire depuis toujours. »

Du manque initial de nourriture en passant par la cuisine de l’ogre ou la gueule du loup jusqu’au dénouement final autour d’un festin, le visiteur découvre les histoires au fil des salles du logis. La parole des conteurs et une mise en scène évocatrice donnent corps à ces récits, les histoires à écouter s’incarnant au travers d’un fumet qui s’échappe d’une marmite sur le feu, de pommes à croquer, etc.










