Théâtre anatomique

L’exposition A corps et âme du Château de Kerjean s’intéresse à l’Histoire de la médecine au 16e siècle et plus particulièrement à l’essor de l’anatomie et à ses effets sur la perception du corps et de l’âme. Objets historiques et oeuvres d’art contemporain dialoguent et tissent des liens entre la Renaissance et notre société.

À la Renaissance, le tabou de l’ouverture du corps humain se lève progressivement et les dissections se multiplient en Europe dans les théâtres d’anatomie. Praticiens et artistes travaillent ensemble pour cartographier ce continent encore inexploré dans son entièreté et diffuser ces nouvelles connaissances. Les travaux d’André Vésale et d’Ambroise Paré, entre autres, amorcent une rupture qui se confirme au 17e siècle. Certes, la théorie des humeurs, qui fait du corps et de l’âme deux entités interdépendantes, est encore vivace. Progressivement toutefois, le corps devient une machine au fonctionnement de moins en moins mystérieux. Dans le parcours de l’exposition, sont présentés des objets et des oeuvres historiques témoignant du monde médical à la Renaissance. Des oeuvres d’artistes contemporains et des films d’animation leur font écho, et donnent à réfléchir sur l’évolution de la médecine et la place du corps et de l’esprit dans notre société actuelle.

 

Le Manque

Le Manque ? Ce sont nos 19 fans qui en parlent le mieux :
« Le Manque est tubesque, foutraque, déprijouissant, décalé, touchant, inquiétant. C’est un sacré boys band » (Anne V.).
« Quand le vertige d’une existence sans but se fait pop music. La recette du Manque est simple : sampler l’amertume et l’absurdité tragique jusqu’à ne plus faire qu’en rire, agrémenter l’ensemble de chœurs virils et de synthés tripoteurs, et offrir le tout à siroter à une fillette aux mains sales. » (Richard).
« Fantasque et inspiré » (Peggy).
« Nécessaire, punk et madré » (Véronique).
« Instants volés au rien » (Franz).
« Inusable, libéré, protéiforme, chanson française pour punks » (Bertrand).
« Une ironie mordante et poétique, de drôles d’histoires noires et drôles, des chansons sur la vie comique dans sa laideur et sa bêtise. Excédé et excessif. Pour la musique, je ne sais pas » (Josée).
« Doux-amer, français, Martin Parr » (Franck).
« Aïe aïe aïe » (Cécile).
« Le paradis, c’est les autres » (Aurélia).
« Douce-amère, sensible, cynique » (Anne L. G.).
« Dingue, sensible et à contre-courant » (Nelly).
« Marges, personnages, mélancolie » (Geoffroy).
« Iconoclaste, attachant, addictif, prophétique au 6e degré, sibyllin et visionnaire. Et je ne plaisante pas » (Bernard).
« A qui perd gagne, le Manque a gagné » (Damien).
« La métaphysique de l’orgue de Barbarie » (Claude).
« Engagement, clair-obscur, grinçant » (Karine).
« Pensée, acide, plaisir ! » (Hervé).
« Zarbi, moutarde, fesse-carotte » (Oscar).
En 2016, bientôt trente vidéos visibles, dont plusieurs ont été programmées sur des blogs et webzines (Vents contraires, A découvrir absolument, La Chanson française, Nietzsche Académie…) et diffusées dans plusieurs festivals de courts-métrages (Halle Saint Pierre à Paris, Montpellier, Etel…). Elles sont souvent réalisées par le groupe, et parfois par Franz Griers, Brice Vincent ou Aurélia Bécuwe.

Le manque

Théâtre au féminin

Le Festival « Théâtre au Féminin » a pour ambition de mettre en lumière le travail des femmes encore trop peu représenté dans les programmations de spectacle vivant.
Découvrez 5 spectacles portés par des femmes, comédiennes, auteures, metteuses en scène…

Héroïnes
Cie On t’a vu sur la pointe

My
Dead Bird
Cie Divine Triumph

Des Femmes
Le Collectif Lyncéus

L’Origine
du Monde
Cie Fiat Lux

Les Malédictions
Cie La Volige

Biblioplage 2019

La Médiathèque
s’installe à la plage !
La bibliothèque est abritée dans une cabane de plage. Tongs aux pieds, transats… cette bibliothèque hors les murs ne ressemble à aucune autre. L’ambiance est à la détente, au plaisir, au farniente, très loin de l’image que l’on peut se faire d’une bibliothèque.
Cette bibliothèque éphémère de 12 m² possède sur ses rayonnages un fonds de 800 ouvrages : romans, documentaires, albums pour enfants, bandes dessinées adultes et enfants, journaux (presse quotidienne), revues… décoration, cuisine, aventure, policiers… il y en aura pour tous les goûts !
En plus d’associer loisirs et lecture, l’enjeu est également d’attirer un public éloigné du livre en étant présent là où il est. C’est en quelque sorte le livre qui se déplace vers le lecteur en non l’inverse. Cela peut amener des non-lecteurs à découvrir les joies de la lecture et ainsi développer cette pratique. Chacun peut y trouver son compte, enfants comme adultes, et tout cela gratuitement !

Jazzminatures 2015

la ville de Port-Louis, soucieuse de soutenir des projets à une époque où beaucoup d’initiatives culturelles disparaissent,
a souhaité la création d’un temps fort dédié au jazz.
La programmation est confiée à hop’n jazz qui propose le temps d’un week-end, un jazz qui résonne, s’inscrit dans son époque et qui se destine à toutes les oreilles.

Jazzminiatures 2020

Port-Louis se situe idéalement à l’extrémité de la rade de Lorient, une position géographique privilégiée pour observer l’horizon. Explorer de nouveaux confins tel est le désir des poètes et des musiciens. Jazzminiatures serait ainsi le temps d’un weekend l’occasion de nous laisser entraîner dans leur sillage, de saisir une aventure à partager avec eux au cœur de Port-Louis, port d’attache d’un probable dépaysement. Cette nouvelle édition offre un espace à la poésie et à la parole ; Jacques Bonnaffé fera basculer le tempo des mots soufflés par le sax baryton de François Corneloup. Des paroles d’exils de poètes du Moyen Orient et du Maghreb seront portées par la voix et les cordes de Kamilya Jubran et Sarah Murcia. Ces textes seront visibles et lisibles à la médiathèque grâce à une jeune graphiste Andréa Boin. Sarah Murcia présentera sa lecture musicale tirée de Tandis que j’agonise de William Faulkner, sur une proposition que le Théâtre de Lorient a souhaité partager avec nous. La Dame Blanche, invite deux musiciens d’une autre rive de la rade : Johann Epenoy et Stéphane Marrec. Et puis le cinéma sans images, des BO que revisitent pour nous Vincent Courtois, Daniel Erdmann et Robin Fincker pour une ultime traversée…

Noël sous les étoiles

À partir du 7 décembre, Lorient s’illumine et lance les festivités avec la parade de Noël des Détourneurs et son défilé de lanternes.
À partir du 14 décembre, fanfares, concerts, spectacles et déambulations animeront les rues. Allez à la rencontre du Père Noël, laissez-vous surprendre par les percussionnistes illuminés de Samba Baladi, par les dandys décalés Les Frappovitch, et retrouvez les musiciens déjantés d’Oozband, de retour pour une carte blanche.
Ne manquez pas le spectacle « Le Bal » de la Compagnie Remue-Ménage et son final aérien le dimanche 22 décembre, temps fort de cette édition !
La fête foraine sera également de retour au centre-ville du 14 décembre au 12 janvier.

Lorient Plage

Au bord de l’eau, sur l’eau ou dans l’eau !

Comme nombre de villes de bord de mer, Lorient a eu son casino, ses maisons de villégiature, ses plages et ses établissements de bains. Lorient-plage, ce fut même un quartier balnéaire dessiné dans les années 1920 le long de la route côtière. évanoui avec l’aménagement des espaces portuaires, Lorient et sa rade offrent encore aujourd’hui des kilomètres de promenades littorales et quantité de loisirs à pratiquer au bord de l’eau, sur l’eau ou dans l’eau !

Des origines de la ville à aujourd’hui, c’est ce Lorient-plage parfois insolite et méconnu que nous vous invitons à découvrir avant d’enfourcher le vélo pour une balade sur les rives ou de filer à la plage !

Gymnote & Nautilus

Sous-marins entre mythe & réalité

Exposition temporaire dans le Musée du Sous Marin Le Flore à l’occasion des 100 ans de la mort de Dupuy de Lôme.

Le sous-marin Gymnote est imaginé en 1886 par Henri Dupuy de Lôme, ingénieur militaire du génie maritime et homme politique français. À travers ce parcours d’exposition, le sous-marin Gymnote et le Nautilus de Jules Verne, l’un réel, l’autre imaginaire, sont comparés.
Le premier, construit et en activité à la fin du XIXe siècle, est considéré comme le premier sous-marin opérationnel. Quant au second, imaginé en 1868, il est à la fois un

laboratoire de recherche, un musée et un navire de guerre.