Le Manque
Le Manque ? Ce sont nos 19 fans qui en parlent le mieux :
« Le Manque est tubesque, foutraque, déprijouissant, décalé, touchant, inquiétant. C’est un sacré boys band » (Anne V.).
« Quand le vertige d’une existence sans but se fait pop music. La recette du Manque est simple : sampler l’amertume et l’absurdité tragique jusqu’à ne plus faire qu’en rire, agrémenter l’ensemble de chœurs virils et de synthés tripoteurs, et offrir le tout à siroter à une fillette aux mains sales. » (Richard).
« Fantasque et inspiré » (Peggy).
« Nécessaire, punk et madré » (Véronique).
« Instants volés au rien » (Franz).
« Inusable, libéré, protéiforme, chanson française pour punks » (Bertrand).
« Une ironie mordante et poétique, de drôles d’histoires noires et drôles, des chansons sur la vie comique dans sa laideur et sa bêtise. Excédé et excessif. Pour la musique, je ne sais pas » (Josée).
« Doux-amer, français, Martin Parr » (Franck).
« Aïe aïe aïe » (Cécile).
« Le paradis, c’est les autres » (Aurélia).
« Douce-amère, sensible, cynique » (Anne L. G.).
« Dingue, sensible et à contre-courant » (Nelly).
« Marges, personnages, mélancolie » (Geoffroy).
« Iconoclaste, attachant, addictif, prophétique au 6e degré, sibyllin et visionnaire. Et je ne plaisante pas » (Bernard).
« A qui perd gagne, le Manque a gagné » (Damien).
« La métaphysique de l’orgue de Barbarie » (Claude).
« Engagement, clair-obscur, grinçant » (Karine).
« Pensée, acide, plaisir ! » (Hervé).
« Zarbi, moutarde, fesse-carotte » (Oscar).En 2016, bientôt trente vidéos visibles, dont plusieurs ont été programmées sur des blogs et webzines (Vents contraires, A découvrir absolument, La Chanson française, Nietzsche Académie…) et diffusées dans plusieurs festivals de courts-métrages (Halle Saint Pierre à Paris, Montpellier, Etel…). Elles sont souvent réalisées par le groupe, et parfois par Franz Griers, Brice Vincent ou Aurélia Bécuwe.
« Le Manque est tubesque, foutraque, déprijouissant, décalé, touchant, inquiétant. C’est un sacré boys band » (Anne V.).
« Quand le vertige d’une existence sans but se fait pop music. La recette du Manque est simple : sampler l’amertume et l’absurdité tragique jusqu’à ne plus faire qu’en rire, agrémenter l’ensemble de chœurs virils et de synthés tripoteurs, et offrir le tout à siroter à une fillette aux mains sales. » (Richard).
« Fantasque et inspiré » (Peggy).
« Nécessaire, punk et madré » (Véronique).
« Instants volés au rien » (Franz).
« Inusable, libéré, protéiforme, chanson française pour punks » (Bertrand).
« Une ironie mordante et poétique, de drôles d’histoires noires et drôles, des chansons sur la vie comique dans sa laideur et sa bêtise. Excédé et excessif. Pour la musique, je ne sais pas » (Josée).
« Doux-amer, français, Martin Parr » (Franck).
« Aïe aïe aïe » (Cécile).
« Le paradis, c’est les autres » (Aurélia).
« Douce-amère, sensible, cynique » (Anne L. G.).
« Dingue, sensible et à contre-courant » (Nelly).
« Marges, personnages, mélancolie » (Geoffroy).
« Iconoclaste, attachant, addictif, prophétique au 6e degré, sibyllin et visionnaire. Et je ne plaisante pas » (Bernard).
« A qui perd gagne, le Manque a gagné » (Damien).
« La métaphysique de l’orgue de Barbarie » (Claude).
« Engagement, clair-obscur, grinçant » (Karine).
« Pensée, acide, plaisir ! » (Hervé).
« Zarbi, moutarde, fesse-carotte » (Oscar).En 2016, bientôt trente vidéos visibles, dont plusieurs ont été programmées sur des blogs et webzines (Vents contraires, A découvrir absolument, La Chanson française, Nietzsche Académie…) et diffusées dans plusieurs festivals de courts-métrages (Halle Saint Pierre à Paris, Montpellier, Etel…). Elles sont souvent réalisées par le groupe, et parfois par Franz Griers, Brice Vincent ou Aurélia Bécuwe.